Une méthodologie bien fondée, mais qui nécessite de disposer de davantage de données toxicologiques pour pouvoir réellement évaluer les risques liés à la présence de nanomatériaux dans les produits alimentaires : c'est l'une des principales conclusions de l'avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Ces travaux découlent d'une demande d'expertise de cinq ministères face à l'utilisation croissante de nanomatériaux dans l'alimentation : ces derniers sont utilisés notamment pour...
Article publié le 16 décembre 2022